Les peupliers cultivés, c'est pas le pied !
Les peupliers cultivés sont source de nombreux problèmes.
Tous des clowns, ces clones !
Les peupliers les plus répandus sont des hybrides, ils ont donc tous le même patrimoine génétique et le même âge. Lorsqu'un individu est exposé aux maladies, celles-ci se répandent rapidement d'arbre en arbre.
Ayant tous la même résistance, si l'un meurt, les autres connaissent le même sort.
De plus, ils sont à l'origine de pollution génétique : en effet, les flux de pollen provenant des peupleraies introduisent des gènes étrangers dans le patrimoine d'autres peupliers isolés.
La biodiversité des espèces régresse, le temps presse !
Pas net pour la planète !
Sauvons l'environnement, halte au désherbant !
Les grandes quantités de désherbant utilisées au moment de la plantation, et l'utilisation massive des pesticides contre les insectes sont très nocives pour l'environnement.
On s'en fiche, mais pas nos «fish» !
Lorsque les feuilles de peupliers tombent sur les sols, elles utilisent une quantité important d'oxygène pour leur dégradation et libéreraient des substances toxiques pour les poissons.
Peuplier transpirant, attention à l'assèchement !
Le peuplier régule mal sa consommation d'eau : son eau s'évapore très vite par les stomates de ses feuilles. C'est pour cela qu'il consomme beaucoup d'eau, il vaut mieux donc le planter en milieu humide, sans quoi il assèche les sols.
NEVEJANS Solène
DUCHESNE Jeanne
ANDRE Léna
VIDOGUE Pauline